Nous avons malheureusement des Auteurs qui ne se sont pas toujours imposé cette loi ; mais ils semblent quelquefois en avoir senti toute l’importance.
Il composa lui-même son épitaphe : J’ai vécu sans nul pensement, Me laissant aller doucement A la bonne loi naturelle : Et si m’étonne fort pourquoi La mort osa songer à moi, Qui ne songeai jamais à elle.
Il a voulu rendre sensible à tous la loi de progression, en quelque sorte fatale, qui, de vice en vice, conduit un jeune cavalier de distinction au comble de la perversité.