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112. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Chose remarquable, le théâtre comique fut presque libre dans un temps où on ne parlait pas de liberté, et le théâtre tragique n’eut aucune entrave.

113. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

La charmante Daphné et la trop aimable Eroxène 626 suivent ces sages maximes, et viennent s’offrir 627 au jeune Myrtil, qui chante à son moineau :          Innocente petite bête,          Qui contre ce qui vous arrête          Vous débattez tant à mes yeux, De votre liberté ne plaignez point la perte :          Votre destin est glorieux ;          Je vous ai pris pour Mélicerte.

114. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Cependant, soit qu’avant le siècle dernier, les notaires ne se fussent pas encore élevés jusqu’à cette probité délicate qui les distingue aujourd’hui, soit que notre vieille comédie, poussant jusqu’au mensonge la liberté de ses censures, ne craignît pas de flétrir de ses sarcasmes une profession digne de respect, nous voyons, dans quelques anciennes pièces, des notaires proposer, accomplir impudemment des actes d’insigne friponnerie. […] (1) Les trois vers substitués à ceux-ci par les éditeurs de 1682, qu’ici tous les autres ont suivis, sont un exemple bien remarquable des libertés souvent malheureuses et toujours répréhensibles qu’ils ont prises à l’égard du texte de Molière.

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