Plusieurs au bel esprit de Voiture ; D’autres à la cour de Marie de Médicis et à ses cercles, ou les pointes, les jeux de mots, les concetti, que sa cour apporta d’Italie, acquirent de la vogue ; D’autres à la cour d’Anne d’Autriche, belle-fille de Marie de Médicis, qui introduisit, dit-on, en France, l’esprit des romans espagnols.
Gustave d’Hugues (Académie des jeux Floraux, 1866). […] Gustave d’Hugues (Académie des jeux Floraux, 1866).
Fêtes des jeux Pythiens. […] Plaute n’aurait pas rejeté le jeu même du sac, ni la scène de la galère, rectifiée d’après Cyrano, et se serait reconnu dans la vivacité qui anime l’intrigue. […] Ce sont des jeux où il s’amusait avant qu’il fît la profession qu’il a embrassé avec autant d’austérité qu’on sait qu’il la fait maintenant. […] « [*]Le roi, qui ne veut que des choses extraordinaires dans tout ce qu’il entreprend, s’est proposé de donner à sa cour un divertissement qui fut composé de tous ceux que le théâtre peut fournir ; et pour embrasser cette vaste idée, et enchaîner ensemble tant de choses diverses, Sa Majesté, a choisi pour sujet deux princes qui, dans le champêtre séjour de la vallée de Tempé, où l’on doit célébrer la fête des jeux Pythiens, régalent à l’envi une jeune princesse et sa mère de toutes les galanteries dont ils se peuvent aviser. » [*].