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118. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175

Nous n’avons pas sur notre théâtre une seule piece qui mérite de nous servir d’exemple : j’en prendrai un chez les Italiens, encore ne peut-il qu’indiquer le genre d’intrigue dont je veux parler.

119. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108

La reine-mère trouvait bon que le jeune roi fréquentât la maison de la comtesse de Soissons, sachant bien que Marie Mancini, la plus jeune des trois sœurs, attirait son attention, mais persuadée qu’il n’aurait jamais la pensée d’épouser cette étrangère, et que sa société serait pour lui un amusement sans autre conséquence possible que le déshonneur d’une bourgeoise italienne.

120. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203

Toutes les nations se sont imposé la loi des Anciens : les Anglois, les Allemands sont simples dans leur diction : les Italiens, les Espagnols même ne se sont pas oubliés, & n’ont parlé le langage des romans dans la comédie, que dans les descriptions d’un bois, d’un palais, d’un jardin. […] Les Scudéri, les Desmarets ont fait passer sur notre Théâtre l’emphase ridicule des mauvais Auteurs Italiens & Espagnols, & on les a admirés : grands Dieux !

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