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100. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Et, si vous l’avez vu, vous serez de mon goût. […] La ballade, à mon goût, est une chose fade : Ce n’en est plus la mode ; elle sent son vieux temps.

101. (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26

Quoique le Misanthrope soit peut-être la meilleure Comédie que nous ayons aujourd’hui, le Public hésita durant quelques jours à l’avouer pour excellente ; mais les personnes d’un goût exquis prévirent même d’abord quel parti il prendroit dans la suite. […] Mais la comparaison que l’on peut faire des deux Scene de Rotrou avec les deux de Moliere, loin de faire tort à ce dernier, doit faire sentir la finesse de son goût, & combien les plus foibles idées devenoient supérieures entre ses mains.

102. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

On découvrira aussi que ce sont des hommes d’une certaine date : on s’amusera, par ce goût du bibelot qui est si vif aujourd’hui, des marques qu’ils en portent ; et, si quelques-unes de ces marques ont des analogues en d’autres siècles, voire de nos jours, on regardera en souriant ces analogies. […] Nous verrons quelque architecture dans le goût de ces palais qu’on prête maintenant, pour les tragédies, à Pyrrhus et à Thésée ; nous verrons des costumes à l’avenant : le tout, d’après les données d’une archéologie de théâtre, experte aux mascarades pédantesques.

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