Molière le prête à une précieuse, dans sa Critique de l’École des femmes, au sujet de la scène où Arnolphe interroge Agnès sur ce que son galant lui a pris : « il y a là, dit Climène, une obscénité qui n’est pas supportable. » Élise est étonnée du mot : « Comment dites-vous ce mot-là ?
Notice historique et littéraire sur La Princesse d’Élide Molière avait pu se convaincre, par le peu de succès de Dom Garcie de Navarre, que le genre noble, sérieux et galant ne convenait point à son génie, et probablement il ne se fût pas décidé de lui-même à tenter une seconde épreuve. […] Ces plaisirs magnifiques, qui durèrent sept jours, et à la description desquels Voltaire n’a pas dédaigné de consacrer plusieurs pages, étaient dans ce goût moitié guerrier et moitié galant qui rappelle les jeux de l’ancienne chevalerie.
22 En 1664, le Roi donna aux Reines une fête aussi superbe que galante. […] A n’envisager cette réfléxion, qui achève le dénouement, que du côté de la plaisanterie, l’on avouera qu’il étoit difficile de terminer plus finement sur le théatre françois, une intrigue aussi galante. […] Deux princes rivaux s’y disputent, par des fêtes galantes, le cœur d’une princesse. […] Voyez mercure galant, janvier 1677, page 33.