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76. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157

s’écrie-t-il, nous avons vaincu la mauvaise fortune, in ultimo habbiamo vinta ! 

77. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Arnolphe a de la fortune, il a couru le monde et il a eu des aventures. […] Une femme qui a été jugée sévèrement, mais qui n’en avait pas moins de belles qualités, Mme de Maintenon, en souvenir de sa jeunesse, de ses années difficiles, des attaques qu’elle avait repoussées si dignement, en se réservant sans doute pour la dernière, s’apitoie sur le sort de quelques jeunes filles, nobles encore, mais sans fortune, et dont les parents sont morts au service de l’État ; elle fonde la maison de Saint-Cyr.

78. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164

Il n’est que ce métier pour brusquer la fortune : Et tel change de meuble & d’habit chaque lune, Qui, Jasmin autrefois, d’un drap du sceau couvert, Bornoit sa garderobe à son justaucorps vert. […] Il fut esclave à Alger : là sa bonne mine lui valut des bonnes fortunes, qu’il courut grand risque de payer cher, puisqu’il alloit être condamné au feu, quand le Consul François le réclama & le fit sortir des prisons du Divan.

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