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3. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117

En quel état vos feux ? […] En quel état vos feux ? […] O maudit feu, maudite arsure, sure, Où mis je suis pour mes très infets faits ! […] Si j’entrois plus profondément Dans le séjour du troublement, Le feu de mes yeux, brusquement, Par un étrange embrasement, La brûleroit en un moment.

4. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102

Son corps fut transporté à Domfront, où il fut condamné à être traîné sur la claie, à avoir les membres rompus, & à être ensuite jetté au feu. […] Etant un soir auprès du feu, une étincelle vole sur sa robe-de-chambre ; il va se coucher ; au milieu de la nuit, il est réveillé par la fumée. Le feu avoit pris à la robe-de-chambre, de là à la garde-robe. […] Je vous promets, lui dit-il en se rendormant, que si je mets encore le feu à la maison, ce sera d’une autre maniere.

5. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Et ce nez épaté, et ces yeux mal ombragés, sans feu ni lumière ? […] Il y a des femmes qui fomentent la guerre partout ; de vrais diables, jetant feu et flammes ; il en est qui apaisent toutes les rébellions. […] Et c’est dont un beau feu ne se contente guère. […] Mon âme de ce feu nonchalamment saisie. […] On appelait cela jeter son feu.

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