En quel état vos feux ? […] En quel état vos feux ? […] O maudit feu, maudite arsure, sure, Où mis je suis pour mes très infets faits ! […] Si j’entrois plus profondément Dans le séjour du troublement, Le feu de mes yeux, brusquement, Par un étrange embrasement, La brûleroit en un moment.
Son corps fut transporté à Domfront, où il fut condamné à être traîné sur la claie, à avoir les membres rompus, & à être ensuite jetté au feu. […] Etant un soir auprès du feu, une étincelle vole sur sa robe-de-chambre ; il va se coucher ; au milieu de la nuit, il est réveillé par la fumée. Le feu avoit pris à la robe-de-chambre, de là à la garde-robe. […] Je vous promets, lui dit-il en se rendormant, que si je mets encore le feu à la maison, ce sera d’une autre maniere.
Et ce nez épaté, et ces yeux mal ombragés, sans feu ni lumière ? […] Il y a des femmes qui fomentent la guerre partout ; de vrais diables, jetant feu et flammes ; il en est qui apaisent toutes les rébellions. […] Et c’est dont un beau feu ne se contente guère. […] Mon âme de ce feu nonchalamment saisie. […] On appelait cela jeter son feu.