/ 138
59. (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834

Au premier abord, la réponse à cette question semble facile. […] C’était un très honnête homme, mais qui avait ses nerfs, et faciles, à exciter. […] Existence facile et large, luxe domestique, laisser-aller, ce n’est qu’une part du bonheur épicurien ; il y faut encore et surtout l’amour. […] Quant à la maladie dont il souffrait, il n’est pas facile de le savoir exactement, et les médecins de notre temps ne s’entendent guère plus à ce sujet que leurs devanciers du XVIIIe siècle : l’un conjecture un anévrisme, un autre la phtisie.

60. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215

Il est très facile de tirer des scenes & des situations plaisantes du nom des personnages ; mais le comique qui en résulte, me paroît tout-à-fait indigne de la grande comédie : je vais le prouver par deux exemples, l’un pris chez les Italiens, & l’autre chez les Grecs.

61. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

Ce genre si facile, si naturel aux Français ?

/ 138