/ 135
114. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

L’aventure du Vieillard dans les Précieuses ; celle du Chasseur dans les Fâcheux sont de fortes marques de l’estime que la Cour et le Peuple avaient pour lui.

115. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Qui vous a dit que ce fût là cette belle et charmante Madeleine Béjart, tour à tour et tout à la fois riante et sérieuse, qui a enchanté Versailles et Paris, après avoir enchanté la province par les grâces de sa figure et par l’esprit de son jeu ; qu’elle fût la Marinette du Dépit amoureux ou la Philis de La Princesse d’Élide ; quelle représentât une naïade dans Les Fâcheux, ou Cléonis dans Les Amants magnifiques ? […] Nous aimerions mieux certes offrir un demi-louis pour une place réservée sur la scène dans le monde des marquis, des importants et des fâcheux, mais déjà nous sommes trop heureux d’aller au parterre où nous nous tiendrons debout pendant toute la représentation. […] Heureusement, grâce à la forte en gueule de la troupe qui jette un regard furieux sur les fâcheux, le • voilà qui rentre en lui-même et s’en va, s’effaçant peu à peu parmi les moins bruyants.

116. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261

Moliere peut encore ici nous servir de modele : il n’avoit que fort peu de temps pour composer les Fâcheux, Chapelle offrit de versifier la scene de Caritidès ; il le fit en effet, mais si mal qu’elle ne put servir à rien.

/ 135