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113. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292

On semble avoir voulu exprimer par ce bariolage cette nature de caméléon dont Riccoboni parlait tout à l’heure.

114. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

Le poète philosophe connaissait trop bien le cœur humain pour ne pas savoir que le bon sens, l’esprit même, sont de toutes les conditions ; et que souvent c’est dans celles où, sous prétexte d’éducation, le pédantisme et l’affectation n’ont pu gâter le naturel, que se trouve la plus saine appréciation des choses et la manière la plus nette et la plus piquante de les exprimer.

115. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Ils ont, à la vérité, imaginé d’exprimer le sentiment par des lignes entieres de points.

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