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68. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Il est ennemi de la flatterie... et je suis persuadé que s’il eût été amoureux de quelque dame, qui eût eu quelques légers défauts ou en sa beauté ou en son esprit, ou en son humeur, toute la violence de sa passion n’eût pu l’obliger à trahir ses sentiments. » Si l’on en croit Tallemant des Réaux, Mme de Rambouillet, sa belle-mère, elle-même, aurait fait de Montausier ce portrait peu flatteur : « Il est fou à force d’être sage. […] D’autres ont cru reconnaître dans Célimène cette haineuse Mlle de Longueville qui, pour une misérable querelle avec Mme de Monbazon, suscita entre son amant et celui de cette dame un duel fameux, qui eut lieu sur la place Royale et auquel elle assista cachée derrière une jalousie.

69. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224

Donc elle n’existe pas : si elle existait, elle serait ménagère, maîtresse de maison, secrétaire, femme de chambre, écuyère, dame de compagnie, favorite.

70. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99

Les dames y apprenaient que leur sexe ne doit pas les éloigner de la belle littérature.

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