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77. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

Dès qu’il est sorti, Don André dit à son valet qu’il soupçonnoit sa visite d’avoir une autre cause : je croyois, dit-il, qu’il venoit pour me défendre de parler à sa sœur qui m’adore ; mais ce qu’il m’a dit va tourner toute ma tendresse vers Léonor. […] Léonor se laisse vaincre ; mais c’est seulement pour dire à son amant qu’elle plaint son sort, & pour lui défendre de songer désormais à elle, puisque les liens les plus sacrés l’unissent à un autre. […] Don Garcie réfléchit sur la cruauté de Léonor, qui lui a défendu de songer à elle.

78. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499

Cessez de vous défendre De ce que vos regards m’ont souvent fait entendre.

79. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296

Je fus surpris, sans être déconcerté, lorsque, le même jour que j’arrivai, il survint chez la brune une compagnie de laquelle étoit la blonde : je soutins parfaitement bien son abord ; quand je la pus trouver seule, je lui dis : Je vous défends tous soupçons : écoutez mes raisons.

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