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98. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Madame Lisban craint la médisance : Marton la rassure, lui dit de se livrer au conseil que son cœur lui donne. […] Hâtez-vous de vous l’attacher : craignez qu’on ne vous l’enleve, qu’on ne vous l’accroche....

99. (1739) Vie de Molière

Molière, après la représentation de Nicomède, s’avança sur le bord du théâtre, et prit la liberté de faire au roi un discours, par lequel il remerciait Sa Majesté de son indulgence, et louait adroitement les comédiens de l’hôtel de Bourgogne, dont il devait craindre la jalousie : il finit en demandant la permission de donner une pièce d’un acte, qu’il avait jouée en province. […] Il est vrai qu’il y a quelques grossièretés : La bière est un séjour par trop mélancolique, Et trop malsain pour ceux qui craignent la colique. […] Il ne faut pas craindre que les Fâcheux tombent dans le même décri.

100. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252

Dans l’Ecole des Maris, Sganarelle veut épouser Isabelle : Isabelle ne craint rien tant que ce mariage, parcequ’elle a un amant à qui elle aimeroit mieux donner la main.

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