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91. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Rousseau en conviennent eux-mêmes. […] Il y fut admis cependant avec répugnance : l’esprit turbulent de Cyrano ne convenait point à des jeunes gens qui avaient déjà toute la justesse d’esprit que l’on peut souhaiter dans des personnes toutes formées. […] « Je conviens que c’est l’homme du monde qui a le mieux rêvé, ajouta Chapelle ; mais, morbleu ! […] Le moine, qui convenait de tout obligeamment, donna aussitôt un signe d’approbation, sans proférer une seule parole. […] Ce divertissement, disait-on, était sec, peu intéressant, et ne convenait qu’à des gens de lecture.

92. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

Quoiqu’il en soit, une ville mal saine et qui a le moral pollué par les prêtres, ne conviendra pas pour capitale à cette nation de 18 millions d’Italiens, qui naîtra dès que la France lui enverra quatre régiments pour sage-femme ». […] Si un marin ou un voyageur a affaire au Bau il convient qu’il trouve quelqu’un. […] 3º Quels sont les ridicules des savans et des poètes masculins, qui peuvent leur convenir ? […] Le stile lourd ne convient qu’à Armande. […] Dès qu’en peinture on emploie des signes faux, il convient que le sublime de l’expression croisse dans le même degré de pureté.

93. (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181

Tous les critiques conviennent que cette réception d’un médecin « en récit, chant et danse » est le plus ingénieux et le plus divertissant des intermèdes qui épient les comédies-ballets composées par Molière à l’occasion des joies du carnaval.

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