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107. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473

Ce m’est, je le confesse, une audace bien grande, Que d’oser de ce cœur vous adresser l’offrande ; Mais j’attends, en mes vœux, tout de votre bonté, Et rien des vains efforts de mon infirmité.

108. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287

Quand même un homme auroit l’esprit assez juste, le goût assez épuré pour ne se laisser corrompre ni par les admirateurs ni par les critiques outrés, quand même il seroit en état de se dépouiller de tout esprit de parti & de porter un jugement sain, il doit attendre, pour le prononcer, que la voix publique l’ait confirmé29.

109. (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682

Le succès de ses études fut tel qu’on pouvait l’attendre d’un génie aussi heureux que le sien.

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