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90. (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13

Mais c’est trop m’arrêter, le temps fuit, et j’oublie Que je viens visiter l’une et l’autre Thalie.

91. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

Rien n’est-il suffisant d’en arrêter le cours ? […] Arlequin, valet de Célio, ouvre la scene avec un crocheteur qui porte la malle de son maître ; il l’arrête au milieu de la rue, le fait asseoir sur la malle, se place à côté de lui, & l’interroge sur tout ce qui se passe dans la ville.

92. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Chez le Poëte Latin, c’est parcequ’il craint d’être arrêté comme un vagabond. […] Arrête-toi, Soleil, l’espace de trois jours, & qu’il n’y ait cependant qu’une longue nuit : que les Heures détellent tes chevaux : éteins ton flambeau, & repose-toi.

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