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119. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

J’ai appris dé par lé monde qué vous aviez bésoin d’un Secrétaire. […] Seigneur, j’ai appris que vous cherchiez un nombre de gens pour contribuer par leurs talents aux plaisirs de l’Hiver pendant son séjour en France. […] car je compose en toutes ces musiques, sans les avoir apprises que par les mathématiques46.

120. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Molière serait probablement un peu surpris d’apprendre, de la bouche de ses trop ingénieux commentateurs, quelles causes, toutes indubitables, quoique souvent contradictoires, ont déterminé la direction de son génie. […] Comment veut-on que l’autorité d’une date, si décisive qu’elle puisse être, tienne contre celle d’un grand écrivain, lu, relu, appris par tant de générations et répété par les historiens à la suite ? […] Nous en étions ravis l’autre jour chez M. de La Rochefoucauld ; nous apprîmes par cœur celle du Singe et du Chat,… cela est peint ; et la Citrouille et le Rossignol, cela est digne du premier tome.

121. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293

Adraste découvre que Don Pedre veut faire peindre son amante : il gagne le Peintre, se présente à sa place, parle à la belle Grecque en la peignant, déclare ses feux, apprend qu’il est payé de retour : il n’est plus question que d’enlever l’objet de sa tendresse.

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