Sosie lui-même, qui est un politique et un philosophe, s’écrie, après la mésaventure de son maître : Sur telles affaires toujours Le meilleur est de ne rien dire… Mais ces vers ne signifient en aucune façon que : Le mal n’est jamais que dans l’éclat qu’on en fait.
Tout cela fait autant de scènes, sans compter les démons qui sans cesse vont et viennent pour examiner ce qui se passe, et qui, voyant que l’affaire devient sérieuse, commencent à s’inquiéter.
« Il ne suffit pas de garder le respect que nous devons au demi-dieu qui nous gouverne ; il faut épargner ceux qui ont le glorieux avantage de l’approcher, et ne pas jouer ceux qu’il honore d’une estime particulière. » De Villiers, Lettres sur les affaires du théâtre. […] Lettre sur les affaires du théâtre.