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81. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

Citons l’Arioste, le cardinal Bibbiena, Machiavel, Ruzzante, Pietro Aretino, Francesco d’Ambra, Ludovico Dolce, Annibal Caro et des milliers d’auteurs qui firent admirer surtout la complication et la singularité des intrigues qu’ils inventaient et les grâces souvent trop libres de leur dialogue.

82. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Ordonnez au parterre qu’il ait à admirer la comédienne à la mode ; à peine l’ordre est donné, la comédienne est perdue. […] Casimir Delavigne, vous trouverez que la profession la plus exaltée et la plus admirée, admirée au-delà de toute mesure… sur le théâtre, est justement la profession du comédien ! […] Elle admirait les héros et les belles dames, les beaux vers et les grandes actions, et elle applaudissait des mains et du cœur. […] cette petite Paula, à qui nul n’accordait un regard, quand elle venait aux premières galeries pour rire ou pour pleurer tout à son aise, maintenant tout le monde l’aime et l’admire. […] Admirez la fatalité de mon étoile !

83. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502

Admirons, & tâchons d’imiter.

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