[6142, p. 37-38] Molière se présenta un jour pour faire le lit du roi. […] 142. […] 1855. 143. Coquille : Belcocq → Bellocq Bellocq, Pierre (Paris, 1646 – 1704) : lettré et poète, s’était lié d’amitié avec Molière, Racine et Boileau.
Chapitre XXIV Suite de 1660 à 1670 (continuation de la septième période). — Influence de la société polie sur les mœurs générales et sur le langage. — Mots qu’elle élimine de la langue. […] Quels furent ses mœurs, son esprit, son langage dans la période de 1660 à 1670 ? […] Elle partagea avec Molière l’honneur de faire tomber les affectations et tous les ridicules de la préciosité ; triomphe qui ne fut ni long ni difficile à obtenir ; car les précieuses avaient commencé en 1651, et, Boileau disait déjà, en 1677, en parlant d’une précieuse :reste de ces esprits jadis si renommés, que Molière a diffamés.Mais elle eut sur Molière l’avantage de réformer les mœurs et la grossièreté du langage. […] 70. […] 71.
Elle est le contraire de la comédie : la preuve, c’est que, il y a cent ans (ah ! […] Je propose Thèse; qu’on mette franchement sur les affiches, par exemple (je prends un titre au hasard) : la Tranquillité des Ménages, thèse en quatre ou cinq actes, par M — Ils sont plusieurs ! […] Un matin, à son lever, il manda quatre personnages dont trois au moins étaient de son intimité. […] « Or vous avez, à l’heure qu’il est (c’est toujours Sancho qui parle), dix, vingt, trente, pièces —sur trente ! […] D’abord, mesdames, vous prend toutes pour des Thèses: autour du lac, le long du boulevard, il voit partout quatre actes sous vos jupons et partout les mêmes quatre actes.