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90. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

Il est fâcheux pour moi de me trouver très souvent en contradiction avec les Ecrivains les plus célebres de notre siecle : mais je crois, sans avoir la témérité de heurter de front le sentiment d’un homme célebre, je crois, dis-je, que notre scene ne doit pas faire un grand fonds sur ces prétendues richesses.

91. (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160

Il y a de l’ambiguïté dans cette phrase, ou plutôt on pourrait croire que c’est la pièce de Dufresny que Florian préfère à celle de Regnard, si l’on n’avait vu à l’article de cette dernière qu’il la regarde comme la meilleure de son auteur ; il faut donc pardonner cette négligence de style à un écrivain qui était assez modeste pour être persuadé que ses notes ne seraient jamais imprimées, et lire la dernière phrase comme s’il y avait : Excepté que je trouve celle de Regnard meilleure.

92. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

Etendez la main vers ces admirables éditions que publie la maison Hachette, vers cette collection des Grands Écrivains de la France : vous tenez là Corneille, Racine, Molière tout rafraîchis et tout vivants1.

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