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64. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467

Mes pleurs, ma beauté, mon âge, ce spectacle attendrissant d’une jeune Reine qui leur tendoit les bras, firent tomber les poignards de leurs mains.

65. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8

Homère lui-même, quoique placé à une telle distance de nous, à une telle profondeur dans l’obscurité des âges, a vu évoquer, comme des ombres indécises, ses précurseurs, les aèdes et les rapsodes, qui ont failli compromettre jusqu’à son existence individuelle.

66. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

Moi-même j’en ai honte, et dans l’âge où je suis. […] En quels excellents termes, aussi vrais qu’animés, elle fait justice de l’hypocrisie de tous ces critiques zélés et de ces prudes à leur corps défendant, Qui ne sauraient souffrir qu’une autre ait les plaisirs, Dont le penchant de l’âge a sevré leurs désirs.

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