/ 245
198. (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302

Si la comparaison que nous avons établie entre le Parasite et l’Étourdi paraissait suffisamment justifiée, non seulement on connaîtrait une source nouvelle de Molière, mais la date de sa première comédie serait désormais à l’abri de toute discussion.

199. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187

Chapitre XV Observations générales sur les six premières périodes du xviie  siècle.

200. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

La scene dans laquelle Métaphraste, Précepteur d’Ascagne, impatiente le bon-homme Albert, est calquée sur la quatrieme scene du premier acte du Déniaisé, comédie par le sieur Gillet de la Tessonniere. […] Eclairés d’une moindre lumiere, Enveloppent sa force au sein de la matiere, Et nomment un instinct ce premier mouvement Qui nous frappe d’abord avec aveuglement, Et qui prenant du temps des forces suffisantes, En forme dans les sens des images pressantes, Qui n’en font le rapport à notre entendement Qu’après s’être engagés sans son consentement.

201. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473

Le desir de vous voir est mon premier objet ; De plus, certain procès qu’on m’a sottement fait Pour certain four bannal sis en mon territoire.

202. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252

Ce discours au premier est fort contradictoire.

203. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117

Nos premiers Poëtes, bien différents des Anglois, cherchoient des difficultés pour se ménager le plaisir de les vaincre, en faisant des vers à rime couronnée : je n’en citerai qu’un exemple pris dans la tragédie du Mauvais Riche.

204. (1801) Moliérana « Vie de Molière »

Il y étudia cinq années, et suivit le cours des classes du premier prince de Conti*, qui depuis fut le protecteur des lettres et de Molière.

205. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

Si l’on admet qu’il a pu prendre fantaisie au misantrope d’aller à la cour, et ce fait ne paraîtra impossible à personne, toutes les autres inconséquences que lui prête Molière seront la suite et la punition de cette première démarche.

206. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

Florente annonce à Delmire qu’un des premiers Cavaliers d’Aragon demande à lui parler : la Princesse ordonne qu’on le fasse entrer : Arlequin, qui a toujours suivi Florente & Don Pedre, part pour avertir le Roi. […] Mais revenons à notre premier discours ; réponds : Pourquoi, avant que de traiter Delmire en infame, ne l’as-tu pas interrogée sur ce qui la rendoit coupable à tes yeux ?

207. (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67

On voit aujourd’hui un Comédien occuper une des premières et des plus importantes places auprès d’un Prince. […] J’ai laissé tout cela à penser au Lecteur ; mais mon Censeur ne pense point, et s’en tient au premier sens des termes ; il faut tout lui dire pour qu’il le sente.

208. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516

La déclamation du premier, le monosyllabe du dernier, peignent également leur dépit, font le même plaisir au spectateur, & vont au même but par des chemins opposés.

209. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74

Premier volume.

210. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288

Lisez la derniere scene du premier acte des Fourberies de Scapin.

211. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283

On voyoit d’abord un Roi qui, après un entrechat, donnoit un coup de pied dans le derriere à son premier Ministre, celui-ci le rendoit à un second, le second à un troisieme, & enfin celui qui recevoit le dernier coup, représentoit le gros de la nation, qui ne se vengeoit sur personne.

212. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327

Don Fernand, sujet du Roi de Castille, non content d’être le favori de son maître, de voir son frere premier Ministre, d’avoir obtenu pour son pere la dignité de Grand de la premiere classe, forme encore le projet téméraire de s’allier à son Souverain, de partager avec lui l’autorité, de tenir sa grandeur moins de ses faveurs que de la nécessité, & de se préparer par là des moyens surs de pouvoir être ingrat sans danger.

213. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

  Je ne détaillerai point le troisieme acte de Moliere, parcequ’il ne sert presque qu’à démêler l’imbroglio des deux premiers.

214. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

ACTE PREMIER scène I.

215. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354

Mes premières vues m’y auraient peut-être conduite ; mais vous vous souviendrez, s’il vous plait, que vous voulez que je demeure à la cour, et que je la quitterai dès que vous me le conseillerez… J’ai bien fait votre cour sur les soins que vous avez de nos enfants et sur les dessins que vous avez imaginés pour les fables d’Ésope ; vous êtes fort bien avec eux.

216. (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258

C’était, avant tout, un monument qu’on avait à faire ; toute considération secondaire devait être subordonnée à cette première et principale considération.

217. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Celle France comprend enfin qu’elle n’est montée au rang des premiers peuples du monde que parce que le monde l’a personnifiée dans la personne de ces grands hommes. […] Confié au premier architecte de l’époque, M.

218. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447

Du moment où la toile se leve, jusqu’à l’arrivée du héros, il est question de lui dans toutes les scenes, si l’on excepte la troisieme du premier acte.

219. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79

. ; mais la perspective ordinaire, au milieu de laquelle se déroulaient les événements de la comédie, c’était cette piazetta ou ce carrefour, doré de soleil, divisé en coins et recoins mystérieux, qui, avec une plus grande simplicité d’architecture, a servi également à nos premiers poètes comiques.

220. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93

Les femmes qu’ils ont ennuyées de leurs premiers vers, n’ont plus de vertus, de travers, de graces, de minauderies dignes de la scene : les hommes n’y sont plus des hommes ; ils n’ont plus une ame qui mérite l’attention d’un sage habitant de la capitale.

221. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332

Une autre auroit paru effroyable en l’état où elle étoit, car elle n’avoit pour habillement qu’une méchante petite jupe, avec des brassieres de nuit qui étoient de simple futaine, & sa coeffure étoit une cornette jaune retroussée au haut de sa tête, qui laissoit tomber en désordre ses cheveux sur ses épaules : & cependant, faite comme cela, elle brilloit de mille attraits ; ce n’étoit qu’agréments & que charmes que toute sa personne, &c. » Nous ne rapporterons pas la scene, parceque, dans le premier volume de cet Ouvrage, Chapitre XI du Dialogue, nous l’avons mise à côté de la deuxieme du premier acte du Phormion de Térence dont elle est imitée.

222. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

Voilà comme sont tous les Auteurs qui s’imaginent être du premier ordre ; tout ce qu’ils n’ont pas fait, est, selon eux, détestable : cependant, cet Ouvrage dont Molière, ou notre Auteur fait tant de bruit, est le meilleur que cette personne ait fait en sa vie ; et il n’y a guère eu d’Auteur qui ait plus travaillé que lui, ni dont le nom soit plus connu.

223. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

de Harlai, premier Président & l’un des Administrateurs, lui dit : « D’Ancourt, nous avons des oreilles pour vous entendre, des mains pour recevoir les aumônes que vous faites aux pauvres ; mais nous n’avons pas de langue pour vous répondre ».

224. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Si dans son premier cours il n’est point arrêté, Rien ne s’oppose alors à sa rapidité.

/ 245