Son fils, dont il s’agit ici, fut élevé page de Monsieur (Gaston), frère du roi Louis XIII, duquel il devint un des Chambellans, vraisemblablement lors de son mariage, dont le contrat fut signé le 19 janvier 1630, avec Marguerite de la Baume, veuve d’Henri de Beaumanoir, marquis de Lavardin, gouverneur du Maine et du Perche et fille de Rostain de la Baume, comte de Suze et de Rochefort, maréchal-de-camp, et de Madelène de Lettes des Prés de Montpezat, sa première femme5. […] Quatrième édition, 1628, pages 338 et 474. […] Paris, 1818, t. 6, page 256. […] Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page 245.
Deuxième partie : Réflexion XXVI, pages 218219. […] Pages 47, 48. […] Pages 62, 63. […] Page 215. […] Pages 311 et suiv.
Dans la comédie angloise, Sir Jean Falstaf est un lourd animal qui projette de séduire Madame le Ford & Madame Page. […] M. Page ne fait qu’en rire ; M. le Ford devient jaloux : le premier accuse son ami de croire trop légérement tout ce qui flatte sa jalousie ; le dernier lui reproche d’avoir trop de confiance en la vertu de sa femme.
imprimée depuis quelques jours, chez Prault fils, débute par cette judicieuse réflexion : « Le goût de bien des Lecteurs pour les choses frivoles, & l’envie de faire un Volume de ce qui ne devroit remplir que peu de pages, sont cause que l’Histoire des Hommes célebres est presque toujours gâtée par des détails inutiles, & des contes populaires aussi faux qu’insipides : on y ajoute souvent des critiques injustes de leurs Ouvrages ». […] « Quelques curieux, dit-il, page 11. ont conservé deux Pieces de Moliere dans le genre du mauvais Théatre Italien ; l’une est le Médecin volant ; & l’autre, la Jalousie débarbouillée.
« Dans Lo Specchio (le Miroir), Isabelle, fille illégitime de Pantalon, est amenée à Rome par sa mère Olympia et introduite dans la maison de son père sous l’habit de page et sous le nom de Fabritio. […] Le faux page, en regardant dans cette glace, feint d’y voir s’y dessiner tous les événements passés, la jeunesse de Pantalon et son amour pour Olympia, Olympia abandonnée donnant le jour à une fille, cette fille grandissant, venant à Rome, se déguisant en page pour entrer chez son père, et s’écriant enfin : “Padre mio, io son quella e Olympia è mia madre !”
Je serais heureux qu’un succès pareil fût réservé à la proposition qu’on lira dans mes deux dernières pages, celle de créer à Paris un Musée-Molière permanent. […] Il y a d’excellentes pages dans les articles sur Madeleine et Armande Béjart, des pages toutes brillantes de ces qualités littéraires qui conviennent h une grande revue de vulgarisation destinée surtout aux gens du monde, auxquels suffisent des résumés élégants de travaux originaux habilement rapprochés et combinés. […] Leur certificat est imprimé tout au long à la page 14 de la réponse de Guichard. […] Il eût évité l’ennui de s’entendre dire qu’il avait consacré moins de 40 pages à son sujet et plus de 400 à ce qui ne l’est pas ; et l’ouvrage, qui est fort instructif, n’y eût rien perdu de son intérêt. […] Etienne Charavay, l’archiviste paléographe bien connu, à la page 244 (5e et 6e séries), où il décrit la pièce achetée par M.
Paris in-12, 1872, page 99. […] Paris, in-12, 1872, page 97. […] Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873), page 84, et aussi, page 165 (appendice.) […] Pages 495-496. […] Pages 497-499.
Les sieurs Le Gros, Hédouin, Dom, Gingan l’aîné, Gingan le cadet, Fernon le cadet, Rebel, Langeais, Deschamps, Morel, et deux pages de la musique de la chapelle. […] Amours chantants, quatre pages de la musique de la chambre. […] Legros, Hedouin, Estival, Dom, Beaumont, Bony, Gingan l’aîné, Fernon l’aîné, Fernon le cadet, Rebel, Gingan le cadet, Deschamps, Morel, Aurat, David, Devellois, Serignan, et quatre pages de la musique de la chapelle, et deux de la chambre. […] Troupe de Spectateurs chantants, les sieurs Estival, Hédouin, Morel, Gingan l’aîné, Fernon, Deschamps, Gillet, Bernard, Noblet, quatre pages de la musique. Filles coquettes, les sieurs Jannot, Pierrot, Renier, un page de la chapelle.
Cependant le véritable honnête homme, dont il se défie tant, s’embarque avec lui, et la maîtresse qu’il n’a pas seulement daigné regarder se déguise en page, et fait le voyage, sans que le capitaine s’aperçoive de son sexe, de toute la campagne. […] Mon homme a toutes les peines du monde à croire qu’une femme de bien puisse faire de pareils tours ; mais, pour l’en convaincre mieux, cette honnête dame devient amoureuse du petit page, et veut le prendre à force ; mais comme il faut que justice se fasse, et que, dans une pièce de théâtre, le vice soit puni ou la vertu récompensée, il se trouve à la fin du compte que le capitaine se met à la place du page, couche avec son infidèle, fait cocu son traître ami, lui donne un bon coup d’épée au travers du corps, reprend sa cassette, et épouse son page. […] Riccoboni, dans ses Observations sur la comédie, et le génie de Molière, pages 130 et 131, met le dénouement du Mariage forcé au nombre des plus heureux de Molière. […] Riccoboni dans le même ouvrage ci-dessus cité, page 148, dit : « Il y a, dans Le Mariage forcé, une scène et des lazzis tirés de plusieurs comédies italiennes, jouées à l’impromptu. » M. […] Et plus bas, page 46 : “Savez-vous bien, monsieur, où tout ce beau raisonnement aboutit ; à une satire de Tartuffe ; l’observateur n’avait garde d’y manquer, puisque ses remarques ne sont faites qu’à ce dessein.
À la page 6 de l’imprimé, on lit : « Flore sera représentée par la gentille et jolie Louise-Gabrielle Locatelli, dite Lucile, qui, avec sa vivacité, fera connaître qu’elle est une vraie lumière de l’harmonie. » À la page 7 : « Cette scène sera chantée, et Thétis sera représentée par la signora Giulia Gabrielli, nommée Diane, laquelle à merveille fera connaître sa colère et son amour. » Même page : « Le prologue de cette pièce sera exécuté par la très excellente Marguerite Bertolazzi, dont la voix est si ravissante, que je ne puis la louer assez dignement. » Une scène est suivie de cette note : « Cette scène sera toute sans musique, mais si bien dite qu’elle fera presque oublier l’harmonie passée. » 34.
Il part pour remplir le premier ; il espere qu’à son retour sa belle cousine s’attendrira pour lui, sur-tout s’il revient blessé : s’il meurt, il lui fera remettre ses tablettes dont elle occupe toutes les pages. […] Lindor venoit d’obtenir une Compagnie de Cavalerie, au sortir des Pages. […] Un jeune Page est pressé d’aimer. […] Si cela continue, l’ouvrage sera court : je n’en ai fait que trois pages, & me voilà presque à la fin.
Un jour Molière, pour éprouver le goût de cette servante, lui lut quelques scènes d’une comédie de Brécour*, comédie qu’il disait être de lui : la servante ne prit point le change ; et après avoir entendu quelques pages, elle soutint que son maître n’avait pas fait cette pièce.
Ce n’est pas là un document sans réplique ; et je ne vois guère de bonnes raisons d’accepter ce passage du livre comme une page d’Évangile alors qu’on repousse le reste avec horreur. […] Mais à côté de cette page où Molière a le beau rôle, il y en a d’autres où l’on nous le présente sous les plus révoltantes couleurs. […] On est donc forcé, pour corroborer la page de l’Évangile en question, de prendre ça et là, dans Molière, dans le Bourgeois gentilhomme par exemple, tel portrait, telle peinture de cœur, tel cri de vérité humaine : et on les interprète en faveur de la thèse. […] » répète-t-il à chaque paragraphe, et cela pendant dix pages, avec une fureur croissante. […] Si cette page vous paraît si digne de foi, pourquoi rejetez-vous les autres ?
Je ne crois guère cela : la main de Molière est trop reconnaissable, même dans ses pages les plus rapidement écrites, et la tirade porte sa griffe ; mais elle a été improvisée, tout d’un coup sans doute, et comme une mise en demeure respectueuse au roi, d’avoir à donner quelque efficace à ses promesses de protection. […] La malle de Molière a disparu, je vous l’ai dit, comme celle de plus d’un autre, comme celle de ce fou de Cyrano, son condisciple en Gassendi, un vert et original penseur, dont l’Histoire comique renferme des pages surprenantes de hardiesse. […] Il y a dans cette page, d’un si excellent style, presque autant d’erreurs que de mots. […] Une telle conception vous fournira, à vous, poète, une page charmante ; à vous, philosophe, un portrait finement et curieusement écrit ; mais une action, une situation, point. […] La Lettre sur l’lmposteur a là-dessus quelques pages excellentes : « La disconvenance est l’essence du ridicule »,dit-elle.
Voilà une page assez naïve… oui, mais dans sa grâce enfantine elle ne manque pas d’un certain charme ; la jeunesse rachète et au-delà, l’inexpérience. On ne savait pas écrire encore, on commençait, cela se voit, à se douter que l’on serait un écrivain quelque jour. — Ô page innocente… ô page empreinte de mes premiers doutes ! […] Une page oubliée au fond d’un journal devenu le jouet de la rage des vents, est-ce une si grande infortune lorsque tant de poèmes n’ont pas trouvé un acheteur ? […] Au contraire, à comprendre, à deviner les maîtres, vous aurez cette récompense et vous l’aurez tout de suite, que ces mêmes pages sérieuses qui ont impatienté le lecteur frivole habitué aux bulletins du théâtre des Variétés ou du Palais-Royal, quand vous revenez sur votre passé, avec quelle joie et quelle fête vous les retrouverez ces pages sérieuses, cent fois plus vivantes que les colifichets de vos meilleures matinées. Telle page, en effet, qui était pesante au journal, et qui impatientait le lecteur du journal, devient légère au livre et au lecteur du livre. — Ah !
Tout d’abord, on prétend qu’il a attaqué le principe lui-même, et dans le scepticisme universel de Marphurius, on croit reconnaître une parodie du doute, si fort recommandé dans les premières pages du Discours de la Méthode. […] Ces pages étaient déjà écrites quand a paru le livre de M. […] J’emprunte, dans ces premières pages, la plupart de mes exemples historiques aux annales de la faculté de médecine. […] Serait-on tenté de voir ici une contradiction avec les pages (voir le premier article) où nous disons que Molière, après avoir sondé jusqu’au fond le cœur de l’homme, l’avait trouvé mauvais ?
C’est en cette circonstance que, peut-être à la recommandation de Molière, il emmena dans son carrosse le musicien Dassoucy, mais sans ses pages. […] Si cette page de Chorier était contemporaine des faits, il y aurait beaucoup à en conclure. […] Il n’est pas possible, en lisant cette page, de ne point penser aux Précieuses ridicules que Molière va nous donner bientôt. […] Tel est le récit que nous trouvons dans les premières pages de l’histoire de La Fameuse comédienne. […] L’ÉGUISÉ : Mercure et un page de Phynée.
» occupe douze pages à peine (205 à 216). […] Elzevier) à Paris, chez Claude Barbin, au signe de la Croix, 1669, petit in-12 de 172 pages, y compris 5 feuillets préliminaires, et 67 pages. […] Dentu, page 173. […] Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113 et 117. […] Paul », page 125.
La Fontaine a dit : Tout Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
Diderot dit, dans ses réflexions sur la Poésie dramatique, page 11 : « Que quelqu’un se propose de mettre sur la scene la condition de Juge ; qu’il intrigue son sujet d’une maniere aussi intéressante qu’il le comporte & que je le conçois ; que l’homme y soit forcé par les fonctions de son état, ou de manquer à la dignité & à la sainteté de son ministere, & de se déshonorer aux yeux des autres & des siens, ou de s’immoler lui-même dans ses passions, ses goûts, sa fortune, sa naissance, sa femme, ses enfants ; & l’on prononcera après, si l’on veut, que le Drame honnête & sérieux est sans chaleur, sans couleur & sans force ». […] Diderot, juste, impartial comme tous les grands hommes, dit encore dans sa Poétique, page 31 : « Que j’aie un plan à former : sans que je m’en apperçoive, je chercherai des situations qui quadreront à mon talent & à mon caractere.
Dans celle grande page de notre histoire, nous voyons le juge qui a mis la coupable au défi de se justifier, nous le voyons la supplier de vouloir bien le faire, et celle-ci refuse, et celui-là lui pardonne et la remercie. […] Molière, d’un bout à l’autre, sans excepter une œuvre, une page, une ligne, un mot, est navré et navrant.
Ce livre contient soixante et dix pages. À la première page il y a une figure d’Arlequin, qui est de trois pouces et trois lignes de haut.
C’est de manière épisodique, et non plus d’ensemble, que le nouveau commentateur étudie la question ; Le Sicilien, ou l’Amour peintre sert de texte non seulement à son discours, mais à sa musique, car ce charmant volume, sorti des presses de Didot, enrichi d’images du temps, enguirlandé, illustré d’arabesques, estampillé de croches et de doubles-croches, fleure : l’art par toutes ses pages.
Jeune, il laissait à la nature le soin de ses cheveux ; plus tard ils tombèrent sous les coups de ciseaux des dames dont les larmes avaient mouillé les pages de ses romans. […] Puis, pour saisir par le contraste le caractère propre de cet esprit et de ce style, lisez une page de Shakespeare. […] Voyez page 32. […] Voyez page 79 et suiv. […] V. page 82.