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198. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

—Les jours heureux que Molière passa avec la jeune Armande, ne furent pas de longue durée, la représentation de la Princesse d’Elide fit connaître la jolie actrice : Guiche et Lauzun daignèrent la remarquer. — Le mariage de Molière est de 1662, et l’anecdote suivante, que nous rapportons d’après un contemporain, peut être placée en 1665.

199. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398

Lucette, jeune Languedocienne, accuse Pourceaugnac de l’avoir abandonnée après l’avoir épousée à Pézenas, & d’avoir eu plusieurs enfants d’elle.

200. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90

Tous sont sacrifiés à un jeune berger qui est le cueilleur de roses du pays.

201. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Nous avons vu à quoi se réduisait la famille de la marquise de Rambouillet, depuis l’absence de la duchesse de Montausier : toutefois, j’ai omis, par inadvertance, de parler de la plus jeune sœur de la duchesse, Angélique Claire d’Angennes, mariée en 1658 au comte de Grignan, le même qui, après un second mariage, épousa en troisièmes noces, en 1669, mademoiselle de Sévigné, avec qui sa mère lia cette correspondance si charmante qui est entre les mains de tout le monde.

202. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

Sganarelle a cinquante-trois ans ; il s’avise cependant d’être amoureux de Dorimene, jeune coquette.

203. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Une jeune Milanaise, déguisée en page, vient sous le nom de Lesbino offrir ses services au capitaine qu’elle aime ; ce rôle est tenu par la signora Silvia Roncagli, de Bergame.

204. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Ils eurent les comédies Atellanes, ainsi nommées d’Atella, maintenant Aversa, dans la Campanie : c’étoit un tissu de plaisanteries ; la langue en étoit Oscique ; elle étoit divisée en actes ; il y avoit de la musique, de la pantomime, & de la danse ; de jeunes Romains en étoient les acteurs. […] Ménandre, un peu plus jeune qu’Aristophane, ne donna point comme lui dans une satyre dure & grossiere, qui déchire la réputation des plus gens de bien ; au contraire il assaisonna ses comédies d’une plaisanterie douce, fine, délicate & bienséante. […] Il fut esclave de Terentius Lucanus sénateur romain, qui le fit élever avec beaucoup de soin, & l’affranchit fort jeune.

205. (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89

Après avoir blâmé Corneille et Racine d’avoir fait parler avec trop d’esprit, les personnes qu’ils font paroître pénétrées de grandes passions, « Moliere, dit-il, est un auteur pernicieux » qui ne tend qu’à donner du crédit et de l’autorité au crime, en décriant ceux qui s’y oposent, ou en aprenant la maniéré dont les jeunes personnes doivent se servir pour tromper des parens chargez de leur conduite ». […] C’étoit un très-grand et bel homme, fort bien fait ; il jouoit les rôles de jeunes rois. […] C’étoit une très excellente et même gracieuse comédienne, quoique laide, point jeune et fort maigre, mais, malgré cela, pleine d’agrément.

206. (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873

La Moliere en pleurant luy fit une espece de confidence des sentimens qu’elle avoit eu pour le Comte de Guiche, dont elle lui jura que tout le crime avoit été dans l’intention, & qu’il falloit pardonner le premier égarement d’une jeune personne, à qui le manque d’experience fait faire d’ordinaire ces sortes de demarches ; mais que les bontez qu’elle reconnoissoit qu’il avoit pour elle, l’empescheroient de retomber dans de pareilles foiblesses.

207. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191

Moi, qui ne suis arrivée d’Athenes à Ephese que d’hier au soir, & cela en la compagnie de mon amant, qui est un jeune Athénien ?

208. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492

Ne vaut-il pas bien mieux qu’un jeune cavalier Dans mon art au plutôt se fasse initier ?

209. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79

Le capitan a excité la jalousie de Flaminio ; mais il affirme à Flaminio qu’il est amoureux per fama d’une jeune Vénitienne nommée Ortensia.

210. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

Nous ne pourrons peindre ce Ministre de Thémis n’accordant à une jeune beauté les secours qu’il lui doit qu’en la forçant de manquer à l’honneur ; & cet autre plongeant une famille honnête dans la misere la plus affreuse pour augmenter la fortune d’un client qui n’aura pas craint de le faire rougir en marchandant son suffrage.

211. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410

Comme les marchands font de fréquentes absences, la belle, qui se trouvoit souvent veuve, se rendit amoureuse d’un jeune Cavalier nommé Robert, qui lui avoit fait long-temps la cour.

212. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Cidalise a promis Rosalie sa fille à Damis, jeune Officier ; mais elle s’est depuis entêtée de la philosophie, & veut donner Rosalie à Valere, Philosophe.

213. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332

Constance, jeune veuve, sœur de Clairville, a perdu le sommeil comme d’Orval, l’amour le lui a ravi ; elle est alarmée en apprenant que d’Orval va partir, elle l’aime, elle le lui avoue.

214. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

Leloir3, je les prierais de s’exercer d’après les conseils de ce jeune comédien ; et, pour le jour de ma fête, je leur distribuerais les rôles de la Sortie de Saint-Cyr, l’honnête et gentille petite pièce de M.

215. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58

Elle avait alors pour principaux acteurs Oratio Nobili de Padoue faisant les amoureux, Adriano Valerini de Vérone jouant aussi les amoureux sous le nom d’Aurelio ; Lucio Burchiella faisait le personnage du docteur Gratiano ; Lidia de Bagnacavallo était la première amoureuse, et la jeune Prudenza de Vérone la seconde amoureuse.

216. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468

Valere lui dit qu’il a raison, parcequ’il ne sauroit avoir tort ; mais qu’on ne doit point précipiter les choses, qu’il ne faut point forcer les inclinations des jeunes personnes, &c.

217. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

Phlipin excuse son jeune maître, reçoit du vieillard deux cents ducats & feint de repartir bien vîte pour Cascaye : mais il annonce tout bas que Don Pedre est secrètement à Lisbonne.

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