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143. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441

Il avoit été pris dans un voyage qu’il faisoit vers quelque isle, pour aller rendre les derniers devoirs à son pere expirant ; & ses Maîtres l’avoient vendu à un Marchand de Ligourne.

144. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499

CHAPITRE XIX & dernier.

145. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

Les derniers temps de la comédie italienne en France La comédie italienne, pendant son premier séjour à l’Hôtel de Bourgogne, jeta un vif éclat.

146. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Quoi qu’il en soit, Molière fut pendant quelque temps incertain s’il donnerait suite à son projet, et ce ne fut que cinq mois après la représentation de L’École des femmes, qu’il fit jouer La Critique, tableau malin et pourtant fidèle, où était représentée chacune des différentes espèces de détracteurs, dont l’assemblage formait la cabale acharnée contre son dernier ouvrage. […] Observons, d’ailleurs, que Boursault, dont nous plaignons aujourd’hui la disgrâce, en considération de deux ou trois bons ouvrages, et d’autant d’actions honnêtes qui recommandent également sa mémoire, était encore au dernier rang des écrivains, quand il eut la folle audace d’insulter Molière, et que c’est, si j’ose ainsi m’exprimer, par une espèce d’anachronisme assez fréquent dans l’histoire critique des arts, que nous transportons à l’auteur des Cadenas, et du Mort vivant un intérêt qui n’est dû qu’à celui du Mercure galant et d’Ésope à la Cour.

147. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200

Le chagrin des vieux jours ne peut aigrir mon ame Contre les doux transports de l’amoureuse flamme : Et bien que mon sort touche à ses derniers soleils, Je dirai que l’amour sied bien à vos pareils ; Que ce tribut qu’on rend aux traits d’un beau visage, De la beauté d’une ame est un vrai témoignage ; Et qu’il est mal-aisé que, sans être amoureux, Un jeune Prince soit & grand & généreux.

148. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

Les premiers, proportionnant leur morgue au crédit que la foiblesse humaine leur donne, prêtent bien plus au ridicule que les derniers : d’ailleurs, en peignant leur incertitude sur une chose d’aussi grande conséquence que la santé, on corrigera les hommes d’une aveugle foiblesse que leur inspire l’amour trop inquiet de la vie, & on démasquera les charlatans qui en abusent.

149. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

Voici nos observations sur la première : En 1677, quand Phèdre a paru, il y avait trente-deux ans que la société de Rambouillet était dissoute par le mariage de Julie : il y en avait douze que la marquise n’existait plus ; huit que la duchesse de Montausier, dernier reste de la famille passait au lit une vie malade et sans espérance ; si, qu’elle était morte.

150. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Enfin, comme dernier trait caractéristique, Don Juan se hâte d’ajouter dès que son père est sorti : « Hé ! […] La même ironie insultante se rencontre chez Don Juan à l’occasion des derniers conseils pleins de tendresse qu’Elvire vient lui donner. […] Aux dernières paroles désespérées que prononce Alceste, paroles par lesquelles il déclare son projet de vivre désormais isolé de la société, Philinte, touché de compassion pour ce malheureux, dit à Eliante : «… allons Madame, employer toute chose pour rompre le dessein que son cœur se propose. » Tel est le précepte moral qui, tiré de cette comédie célèbre, peut servir à devenir meilleur à quiconque saura le mettre en pratique. […] C’est à la sagacité du supérieur qu’il appartient de juger les cas et le moment où il doit employer les menaces et enfin les châtiments en dernier ressort.

151. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Voyez-le quand dona Elvire, vêtue de deuil, s’en vient, par un dernier effort de tendresse, le prier de changer de vie, de peur d’attirer la foudre sur lui. […] Molière a attaqué vivement la faiblesse la plus inhérente à l’humanité, l’amour exagéré de la vie, et sa dernière pièce fut l’œuvre la plus philosophique de son génie. […] L’amour qu’il conçut ensuite pour une comédienne, nommée Thérèse-Lenoir Thorillière, sœur du dernier comédien de ce nom, le brouilla avec sa famille ; et n’ayant plus de ressource que le théâtre, il prit le parti de s’y réfugier, afin d’épouser sa maîtresse. […] En vain le vieux roi chercha à revenir sur les licences de sa jeunesse eu cachant ses dernières amours avec Mmede Maintenon.

152. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216

Molière semble pourtant l’avoir aimée : il a travaillé plus et mieux que d’autres à qui l’on en fait honneur, à la grande rénovation de la fin du siècle dernier.

153. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

Voir toutes les vies de Molière, et particulièrement l’histoire de son dernier jour : « Il y a cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour vivre : que feront-ils si je ne joue pas ?

154. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Le charme eut assez de durée pour donner place, pendant les dernières années de la jeunesse de Louis XIV et les premières années de sa maturité, à une période unique dans notre histoire, temps de fêtes splendides, de victoires décisives, de conquêtes légitimes, de prospérité inouïe sans mélange de revers, de soumission sans contrainte, de chefs-d’œuvre d’éloquence et de poésie.

155. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Le chagrin des vieux jours ne peut aigrir mon âme Contre les doux transports de l’amoureuse flamme ; Et, bien que mon sort touche à ses derniers soleils, Je dirai, que l’amour sied bien à vos pareils ; Que ce tribut qu’on rend aux traits d’un beau visage De la beauté d’une âme est un clair témoignage, Et qu’il est malaisé que, sans être amoureux, Un jeune prince soit et grand et généreux...

156. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Aussi notre auteur fait-elle d’Armande une vraie Messaline, et une Messaline du dernier ordre, de celles que l’on paie. […] Un jour, il rêvait tristement dans son jardin, lorsque, selon la Fameuse Comédienne, il reçut la visite de son ami Chapelle, et, « comme il étoit alors dans une de ces plénitudes de cœur si connues par les gens qui ont aimé, » il s’épancha dans une confidence que l’auteur du pamphlet prétend reproduire tout au long et au vrai : Je suis né, disait-il, avec les dernières dispositions à la tendresse ; et, comme j’ai cru que mes efforts pouvoient lui inspirer par l’habitude des sentimens que le temps ne pourrait détruire, je n’ai rien oublié pour y parvenir.

157. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164

Remarquez avec quelle adresse l’Auteur, après avoir rendu compte, au commencement de la scene, des traitements qu’ont essuyé du Croisy & la Grange, expose le dépit du dernier, annonce le dessein qu’il a d’en tirer vengeance en punissant les Précieuses, prépare les ressorts qu’il veut employer, de façon cependant que le spectateur ne voit que dans l’éloignement un projet qu’il ne sauroit démêler, mais qu’il desire ardemment de voir remplir.

158. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377

Nous venons de voir dans les derniers Chapitres quelles sont les qualités d’un caractere, quels sont ses défauts, ce qui le rend plus ou moins propre à la scene, & plus ou moins facile à traiter : ne nous laissons donc pas éblouir par des titres pompeux, & avant que de mettre un caractere au théâtre, sachons voir d’un coup d’œil le parti que nous pourrons en tirer.

159. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132

Elle recommande Pamphila au dernier.

160. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

Bernard, prestre habitué en l’église Sainct-Germain, lui a administré les sacrements à Pasque dernier… » 776.

161. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Les dernières surtout pouvaient-elles faire défaut alors ?

162. (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]

La mère voulut justifier les éloges ; elle pria le Précepteur d’interroger son élève sur les dernières choses qu’il avait apprises. […] En reprochant à Montfleury138, qu’il appuyait sur les derniers vers pour attirer l’approbation, et faire faire le brouhaha ; en reprochant à Mademoiselle du Château139, qu’elle conservait un visage riant dans les plus grandes afflictions, il disait à tous les Comédiens présents et à venir de ne pas les imiter. […] Moreto y Cabaña, Augustin (Madrid 1618 – Tolède 1669) : poète et auteur dramatique précoce et abondant, Moreto connaît dans ses dernières années un grand succès à la cour d’Espagne.

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