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109. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

. — En même temps, il combat pour l’emploi des passions au théâtre, et il ne voit pas quel grand crime ce peut être que de s’attendrir à la vue d’une passion honnête. […] Personne ne l’avait trouvée, avant Molière ; Molière est le premier qui l’ait vue. […] Il paraît donc, et à sa vue, sans se douter de ses tortures, cet affreux parterre se met à rire. […] un esprit doué d’une vue plus fine et plus déliée ? […] Si vous voulez revoir mademoiselle Mars, vous qui l’avez vue, allez voir jouer, par une autre comédienne, Les Fausses Confidences, ou bien Le Jeu de l’amour et du hasard.

110. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150

Le fourbe lui persuade que Julie est Constance, cette fille chérie qu’il n’a point vue depuis sa plus tendre enfance.

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