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123. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52

Arlequin, valet de Célio, ouvre la scene avec un crocheteur qui porte la malle de son maître ; il l’arrête au milieu de la rue, le fait asseoir sur la malle, se place à côté de lui, & l’interroge sur tout ce qui se passe dans la ville. […] Arlequin lui répond naïvement qu’il a tort de lui faire ce reproche, puisqu’il a instruit du sujet de son voyage un crocheteur, le cabaretier, les servantes, les palefreniers, & que même en entrant dans la ville il s’en est entretenu avec son cheval, de façon à être entendu de tous les passants.

124. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533

Mais dedans cette ville as-tu point de parents ? […] Ce qui peut avoir donné lieu à cette opinion, est une scene jouée à la Foire, dans laquelle on reçoit un Comédien, en lui mettant sur la tête un bonnet orné de deux oreilles, qui lui donne le pouvoir de chanter, de danser, & d’ennuyer impunément la Ville & le Fauxbourg ; mais elle est au contraire faite d’après celle de Moliere, & la copie est très inférieure à l’original.

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