Delmire, charmée de son jaloux amant, avec qui elle vient de se réconcilier pour la troisième ou quatrième fois, se met entièrement à sa discrétion, et lui dit, en propres termes, de la conduire où il voudra. […] Molière, dans son Avertissement, explique comment l’idée vint de mêler et même de lier la danse à l’action dramatique, de manière qu’elle en remplît les intervalles, sans en rompre le fil.
Brayer soutint qu’elle venait de la rate ; Guenaut, du foie ; Valot, du poumon ; et Desfougerais, du mésentère. […] Quant au ridicule, il n’est pas, il ne peut pas être, d’après ce que je viens de dire, produit par le contraste du caractère et de la situation, de la passion et de l’intérêt ; c’est un ridicule de mots, un ridicule exagéré et presque imaginaire, tel qu’il convient au genre de la farce proprement dite.