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208. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Mais elle avait lieu trois ans après celle où madame Scarron était venue remercier de sa pension. […] Elle en avait besoin pour se défendre des jalousies de la favorite, si la bienveillance que le roi lui accorderait venait à l’exciter. Elle en avait besoin enfin comme d’une précaution contre elle-même, contre son inclination pour le roi, dans le cas où la bienveillance de ce prince, réputé si galant, viendrait à passer avec elle les bornes de la protection.

209. (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790

Aiant passé le Carnaval à Grenoble l’an 1658, il vint s’établir à Rouen. […] Perrault, & l’on ne sait quand elle viendra. […] Peut-être cela vient-il de ce que les graces & les finesses d’Aristophane ne sont pas à la portée de tous ceux qui peuvent sentir le sel & les agrémens de Moliere ; car il faut demeurer d’accord que pour bien juger des Comiques Grecs, il faudroit connoître à fond les défauts des Atheniens. […] J’en conviens, me dit-il, mais elles ne laissent pas de divertir certains jeunes gens, qui ne viennent à notre Theatre que pour rire, qui rient de tout, & souvent sans sçavoir pourquoy.

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