Moliere a encore fait usage de la troisieme Scene du premier Acte de la Sœur, dans la seconde Scene du premier Acte de ses mêmes Fourberies.
Elle ne peut être l’effet d’une ambition vulgaire, ni d’aucun des secrets qui sont à son usage, de l’hypocrisie, de l’intrigue, de la coquetterie, il faut en chercher la noble cause ailleurs.