/ 140
87. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

. — La Troupe de Molière Quand Molière improvisa L’Impromptu de Versailles, il était arrivé au plus haut degré sinon de sa gloire, au moins de sa faveur. […] — C’est Molière lui-même qui éveille sa troupe, car en ce temps-là il était comédien, il était directeur de comédiens, il était poète,-il était courtisan, il était amoureux, il était jaloux, il aimait sa gloire comme il aimait sa femme. […] Enfin c’était une position unique, admirable, enviée et toute nouvelle, qui ne devait durer qu’autant que durerait la troupe de Molière.

88. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Le hasard veut que Philopoleme soit fait prisonnier par les troupes d’Elide, & que son frere Tindare, accompagné de Philocrate, tombe au pouvoir des Etoliens. […] La Troupe.

/ 140