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145. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143

Il s’est emparé des traits les plus saillants imaginés par son maître. […] Quant au dernier trait des deux Satyres, si des créanciers ou des sergents ne délivrent pas Eraste de son Marquis, c’est que l’idée, bonne, excellente, plaisante même dans une satyre, n’auroit pas été réjouissante pour une assemblée composée à coup sûr d’un grand nombre de débiteurs : la piece auroit pu s’en ressentir.

146. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

Nous avons déja beaucoup parlé de cette piece dans le premier volume de cet ouvrage, Chapitre XVI, de l’entr’acte ; il nous suffira donc d’en donner un précis bien rapide, pour faire voir à quoi elle ressemble, & nous séparerons l’intrigue en deux parties pour ne pas confondre les traits de ressemblance. […] Fanni, fille d’Adams, est un ange descendu sur la terre : elle parle ; chaque mot va se lancer en trait de feu dans le cœur de Thatley.

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