En 1644, le célèbre auteur de la Mariane, Tristan l’Hermite, n’avait pas dédaigné de donner à l’Illustre Théâtre, alors établi au jeu de paume des Métayers, ses tragédies de la Mort de Sénèque et de la Mort de Crispe 3.
Molière ne mit rien de tragique dans ses comédies ; Corneille rien de comique dans ses tragédies, rien de tragique dans ses propres comédies.