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220. (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136

Le théâtre est donc obligé d’offrir au public des pièces qui plaisent et qui intéressent. […] Quoique le théâtre n’ait pas la mission de moraliser, il peut avoir un but utile. […] Il n’arrive pas toujours que l’on sorte meilleur du théâtre ; mais au moins il est sûr que l’on peut en sortir plus instruit ». […] Tel est, chercherai-je à le démontrer, le théâtre de Molière. […] Comme pièce de théâtre, cette œuvre est fort médiocre et n’a jamais eu de succès.

221. (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [23, p. 51] »

C’est du reste l’ascendant de Lully sur le roi et l’habileté peu scrupuleuse et intraitable du musicien à s’assurer une sorte de monopole à la cour, notamment dans le domaine du spectacle et du théâtre en musique, qui ont empêché Charpentier d’accéder aux plus hautes fonctions et de connaître véritablement la gloire de son vivant.

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