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254. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489

La méprise de Bernadille, qui ne reconnoît pas sa femme, & qui croit avoir affaire à un juge très sévere, produit des choses charmantes ; mais elle est très mal amenée, puisqu’il n’est pas vraisemblable qu’un homme, à moins d’être aveugle, ne reconnoisse pas une femme avec laquelle il a eu les liaisons les plus intimes, sur-tout lorsqu’un long espace de temps ne s’est pas écoulé, & lorsque la femme ne met pour tout déguisement qu’un habit d’homme. […] On voit qu’elle a été amenée avec vraisemblance, & que pendant le temps qu’elle a duré, elle n’a eu rien de forcé, rien de tiraillé, rien qui distillât la sueur de l’Auteur.

255. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60

Pendant ce temps-là le tuteur d’Orphise a découvert le rendez-vous des amants ; il veut donner la mort à Eraste avant que de lui donner sa niece. […] On n’étoit pas difficile dans ce temps-là.

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