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60. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « epigraph »

« Mais si, comme on l’a dit et comme de notre temps on ne se lasse pas de le prouver, l’histoire est toujours à faire, cela est vrai surtout de l’histoire des lettres, où les tentatives nouvelles du talent, les disputes des écoles, les prétentions du paradoxe et les démentis de l’expérience font incessamment découvrir des points de vue négligés dans l’art, des enseignements utiles pour le présent, des encouragements à la vraie nouveauté, des préservatifs contre la fausse et stérile hardiesse, et toute une étude d’imagination et le goût à faire pour l’avenir, sur les monuments du passé. » M. 

61. (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682

L’inclination qu’il avait pour la Poésie le fit s’appliquer à lire les Poètes avec un soin tout particulier ; il les possédait parfaitement, et surtout Térence. […] Ces nouveaux Acteurs ne déplurent point, et on fut surtout fort satisfait de l’agrément et du jeu des Femmes.

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