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111. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

Un seul exemple suffira pour le prouver ; & je choisis l’Ecole des Femmes de Moliere. […] Je conviens d’abord qu’on trouve plus d’amants timides dans les jeunes gens qui n’osent avouer la premiere blessure de l’Amour, & dans les vieillards qui craignent d’être dédaignés, que dans les hommes de trente-cinq ans : mais on en voit, & cela suffit.

112. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Les extraits différents que nous avons déja donnés, nous dispensent de nous étendre sur la piece de Rosimon ; il suffit de dire qu’elle est un peu au-dessus de celles de Dorimon & de de Villiers, mais fort inférieure à celle de Moliere. […] Il suffit, Don Juan, je vous entends.

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