L’auteur y oppose l’amour de la gloire qui, chez les peuples anciens, à Rome surtout, payait les plus grands services ; il s’exalte de nouveau et avec une éloquente chaleur au souvenir de ces grands hommes de la république romaine, dont il sent si bien la dignité.
Au surplus, on a oublié ces querelles de l’amour-propre, et l’on ne se souvient plus que des productions de leur génie. […] Les variations de son amour, selon qu’il est plus ou moins heureux au jeu ; l’éloge passionné qu’il fait du jeu quand il a gagné ; ses fureurs mêlées de souvenirs amoureux quand il a perdu; ses alternatives de joie et de désespoir; le respect qu’il a pour l’argent gagné au jeu, au point de ne pas vouloir s’en servir, même pour retirer le portrait d’Angélique; cet axiome de joueur qu’on a tant répété, et qui souvent même est celui des gens qui ne jouent pas, Rien ne porte malheur comme payer ses dettes ; tout cela est de la plus grande vérité.