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81. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118

Ita, ita, je me souviens d’avoir encore plus de quatre écus.

82. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Il lui fait peur des damoiseaux, des chaudières du diable ; il lui reproche son origine, la pauvreté d’où il l’a tirée : il pense la toucher, et il ne fait que rendre plus doux à Agnès, par la comparaison, le souvenir des tendresses d’Horace. […] L’observation de la nature eût peut-être suggéré à Molière un moyen de la lui arracher une dernière fois ; mais, soit fatigue après cinq actes si pleins, soit pitié pour la passion d’Arnolphe et pour quelques souvenirs de son propre cœur, Molière termine la pièce par un dénouement postiche, qui fait retrouver à Agnès un père dans un personnage venu d’Amérique, et un fiancé légitime dans son amant. […] Et l’intrigue, ce fil léger qui nous fait souvenir que la scène a d’abord été un théâtre de marionnettes ?

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