Il fut trouvé incapable de jouer aucunes Pièces sérieuses, mais l’estime que l’on commençait à avoir pour lui fut cause que l’on le souffrit.
Dans la Piece Italienne, la scene est fausse & mal-adroite, puisque Magnifico est un prodigue, & que par conséquent il ne doit pas souffrir en donnant une bague à sa maîtresse. […] Quant au plan général de la Piece Françoise, il est si supérieur à ceux des comédies où Moliere a puisé ses matériaux, qu’il ne souffre point de comparaison.