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125. (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243

Il fut trouvé incapable de jouer aucunes Pièces sérieuses, mais l’estime que l’on commençait à avoir pour lui fut cause que l’on le souffrit.

126. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

  Dans la Piece Italienne, la scene est fausse & mal-adroite, puisque Magnifico est un prodigue, & que par conséquent il ne doit pas souffrir en donnant une bague à sa maîtresse. […] Quant au plan général de la Piece Françoise, il est si supérieur à ceux des comédies où Moliere a puisé ses matériaux, qu’il ne souffre point de comparaison.

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