/ 222
175. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

La Comédie-Française a donc laissé, je le répète, à des poètes et à des acteurs étrangers le soin de célébrer Molière. […] Sur ces entrefaites, il se réconcilia avec Armande Béjart, sa femme ; il se laissa aller à l’écouter, à se départir de sa réserve et des soins qu’il prenait de lui-même, non pour lui-même, mais pour les autres. […] Baron lui rapporta un de ceux que Mlle Molière tenait toujours prêts pour elle-même, « car elle avait un soin extrême de sa personne ». […] La pierre tumulaire qu’Armande Béjart avait fait placer au cimetière Saint-Joseph fut transportée, par les soins d’Alexandre Lenoir, au Musée des Petits-Augustins, et on éleva un mausolée à Molière, au cimetière du Père-Lachaise, côte à côte avec La Fontaine. […] Seulement, le malheur nous a appris à nous serrer avec tant de soin contre la France, notre mère, que nous ne songeons plus maintenant (et nous faisons bien) à donner à Molière d’autre nom que ce nom seul de Français, d’autant plus aimé qu’il est plus battu du sort.

176. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

« Molière, dit-il, n’était pas seulement bon acteur et excellent auteur, il avait toujours soin de cultiver la philosophie.

/ 222