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147. (1769) Idées sur Molière pp. 57-67

Horace conclut de son poème de l’Iliade, que les peuples paient toujours les sottises des rois : c’est la conclusion de la plupart des histoires. […] Il fut toujours bien venu du roi, et considéré des honnêtes gens.

148. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224

Il conduit à bien toutes choses, tellement qu’un des gendres de Liseo, dans son enthousiasme, va jusqu’à s’écrier : « Que celui qui n’est ni roi ni fou se fasse hypocrite, et il sera plus que ne sont les rois ni les fous ! 

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