Nous avons dit dans le second volume de cet Ouvrage, Chapitre XV, à quoi ressemblent le Rival par ressemblance, & l’Homme dangereux : ajoutons que le héros de cette derniere piece ressemble beaucoup au Méchant, au Complaisant, & l’intrigue à celle des Philosophes.
Sans cette circonstance, la fuite de son pere aux Isles reste sans fondement : d’Orval ne peut ignorer qu’il a une sœur, & qu’il vit à côté d’elle : il n’en deviendra pas amoureux : il ne sera plus le rival de son ami.