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111. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

L’étourdi reparut à Béziers avec un nouveau succès, le dépit amoureux & les précieuses ridicules y entraînérent tous les suffrages ; on donna même des applaudissemens à quelques farces qui, par leur constitution irréguliére, méritoient à peine le nom de comédie, telles que le docteur amoureux, les trois docteurs rivaux, & le maître d’école, dont il ne nous reste que les tîtres. […] Deux princes rivaux s’y disputent, par des fêtes galantes, le cœur d’une princesse.

112. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Sganarelle est vain : on lui dira qu’il est aimé, pour qu’il aille dire à Valère qu’il ne l’est pas ; il est malveillant : on le tentera par le plaisir d’humilier un rival. […] Son triomphe serait-il complet, s’il n’y ajoutait la confusion de son rival ?

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