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132. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Vittoria avoue qu’elle se rit de tous les amoureux qui ne sont pas généreux envers elle. […] Vittoria rit de plus belle, disant que là où se trouvent les troupes de comédiens, les dames mariées ont la bouche sèche17.

133. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341

Les Auteurs sans génie sont, sans contredit, ceux qui ont jetté un plus grand nombre d’indécences dans leurs détails : trop foibles pour faire des scenes, pour amener des situations plaisantes par elles-mêmes, ils ont imaginé d’exciter le rire par des polissonneries auxquelles nos peres, moins civilisés que nous, applaudissoient, mais qui seroient impitoyablement sifflées présentement, & qui précipiteroient à coup sûr la chûte d’une piece. […] Tu ris après ce bel ouvrage ! […] Je voudrois bien savoir de quelle façon on pourroit l’ajuster pour le rendre plaisant, & si, quand on le berneroit sur le théâtre, il seroit assez heureux pour faire rire le monde.

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