La complaisance que je suis obligé d’avoir pour une tante malade, me fait rester ici dans une étrange solitude.
Ainsi de bien d’autres masques, dont je n’ai pas eu à m’occuper, parce qu’ils sont restés étrangers à Molière et à notre comédie.
La complaisance que je suis obligé d’avoir pour une tante malade, me fait rester ici dans une étrange solitude.
Ainsi de bien d’autres masques, dont je n’ai pas eu à m’occuper, parce qu’ils sont restés étrangers à Molière et à notre comédie.