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127. (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322

Cette même édition offre quelquefois, dans le reste de la pièce, des différences qui ont paru mériter d’être admises parmi les variantes ; on a eu soin d’en indiquer la source. […] Il me reste à considérer le personnage sous un point de vue particulier, celui des opinions qu’il professe en matière de religion.

128. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

L’étourdi reparut à Béziers avec un nouveau succès, le dépit amoureux & les précieuses ridicules y entraînérent tous les suffrages ; on donna même des applaudissemens à quelques farces qui, par leur constitution irréguliére, méritoient à peine le nom de comédie, telles que le docteur amoureux, les trois docteurs rivaux, & le maître d’école, dont il ne nous reste que les tîtres. […] Le détail en est imprimé à la suite de la princesse d’Elide, comédie-ballet, La princesse d’Elide, comédie-ballet, (le premier acte & la premiére scéne du second en vers, le reste en prose,) représentée à Versailles le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal le 9 novembre de la même année. […] Le peu qui nous en reste, suffit pour nous faire admirer la fécondité & l’étenduë du génie de Moliére, qui sçavoit se plier en tant de maniéres, & se prêter à tous les genres. […] Grand merci, monsieur mon mari, voilà ce que c’est ; le mariage change bien les gens, & vous ne m’auriez pas dit cela il y a dix-huit mois, La princesse d’Elide, comédie-ballet, (le premier acte & la premiére scéne du second en vers, le reste en prose,) représentée à Versailles le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal le 9 novembre de la même année.

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