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132. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475

Elle en fait de violents reproches au roi, qui ne prend pas la peine de dissimuler.

133. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Voici le premier : Dans la scène v de l’acte IV de l’Etourdi, Mascarille reproche à son maître, qui vient de dîner chez Trufaldin, d’avoir fait mille imprudences qui pouvaient découvrir son amour pour Célie : Sur les morceaux touchés par sa main délicate, Ou mordus de ses dents, vous étendiez la patte Plus brusquement qu’un chat dessus une souris, Et les avaliez tout ainsi que des pois gris. […] Mais voici un reproche plus grave, et par lequel je terminerai cette longue liste d’erreurs et d’oublis. […] Je me fis à moi-même ce reproche sur une délicatesse qui me semblait ridicule dans un mari, et j’attribuai à son humeur ce qui était un effet de son peu de tendresse pour moi ; mais je n’eus que trop de moyens de m’apercevoir de mon erreur ; et la folle passion qu’elle eut peu de temps après pour le comte de Guiche fit trop de bruit pour me laisser dans cette tranquillité apparente. […] Molière était désolé d’avoir un ami si agréable et si honnête homme attaqué de ce défaut ; il lui en faisait souvent des reproches, et M. […] Nous avons cru nécessaire d’établir ici les véritables principes, afin de repousser une fois pour toutes les reproches de ce genre qui se trouvent répétés plusieurs fois dans le cours de cet ouvrage.

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